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Nulla dies sin linea

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Vivre ou rêver sa vie...

Vous êtes sur un blog d'écriture qui a connu plusieurs mutations. Ce blog suit ma route depuis de nombreuses années désormais, perdant ou gagnant du contenu au gré des vents et de ma météo intérieure.

Cette route me plait, son paysage est plutot sympathique, parfois surprenant, burlesque ou inatendu, mais toujours intéressant, enrichissant à mes yeux.

Mi 2010 la route a biffurqué en angle droit, changeant brusquement d'orientation, de paysage et de destination. Le nouveau décor est si riche que je lui dois toute mon attention. Cela implique moins de temps pour écrire ici, faisant mentir en ligne ma devise "Nulla Dies Sin Linea".

Presque 5 années ont passées. Une pause dans laquelle j'ai vécu tout plein de belles choses qui, si elle m'ont enrichie, m'ont éloignée de l'écriture. Aujourd'hui j'ai d'autres priorités : Ririe (née en 2012), Fifi (né en 2013) et Loulou (né en 2015)... sans oublier leur géniteur "l'homme".
Mais l'envie est toujours là, alors pourquoi ne pas reprendre un peu le voyage ? Je ne promets pas de faire du quotidien, juste d'essayer de reprendre mon carnet de croquis... peut être un peu différemment ?

Cordialement,

CMASC,
aka Sylvia George

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Cmasc, portraits croqués

Photo, peinture ou dessin, les portraits m'intéressent depuis longtemps. 
Que sait-on d'un personnage, face à son image ?
Que disent les lignes ?
Que cachent-elles ?

Je vous propose une expérience : chaque jour, à heure fixe, apparaît un nouvel article, portrait d'une personne réelle ou rêvée.  
Découvrez portraits croqués différement, par les mots plutôt que par les images. Acceptez cette invitation à un voyage dans l'imaginaire. 
Et profitez bien du paysage... 

6 mars 2010 6 06 /03 /mars /2010 16:00
Silence-of-the-lambs.jpg

« Dans l'atelier, il étala ses couteaux sur une serviette propre, à côté du grand évier. Il y en avait quatre : un couteau à écorcher ensellé, un délicat couteau de veneur qui suivait parfaitement la courbe de l’index dans les endroits difficiles à atteindre, un scalpel pour le travail le plus minutieux et une baïonnette, c’est le meilleur outil pour écharner la peau sans la déchirer.

De plus, il avait une scie d’autopsie Strycker dont il ne se servait jamais et qu’il regrettait d’avoir achetée. »

Thomas Harris, Le silence des agneaux

page 279

 
« La peau humaine est lourde -seize à dix-huit pour cent du poids total du corps-. La peau toute entière n’est pas facile à manipuler et tombe facilement si elle est encore mouillée. Le temps aussi est un facteur important ; la peau commence à rétrécir dès qu’on l’a prélevée, surtout chez les jeunes adultes dont le grain est plus serré.

Ajoutez à cela le fait qu’elle n’est pas parfaitement élastique, même chez le sujet jeune. Si vous l’étirez, elle ne retrouvera jamais sa forme. Vous êtes entrain de piquer bien à plat et puis vous tirez un peu trop fort dessus et ça godaille. Vous aurez beau pleurer toutes les larmes de votre corps, cela n’enlèvera pas un faux pli ! »

Idem, page 263-264
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